→ CINÉMA

JOURNÉES DE SOLEURE

Liberté, idéaux et spiritualité

DU 24 AU 31 JANVIER 2019

• SOLEURE



Untere Steingrubenstrasse 19
CH-4502 Solothurn

www.solothurnerfilmtage.ch/fr/

soleure afiche

 Petit panorama de la création cinématographique suisse

 

 

165 longs et courts métrages suisses en une semaine, cela vous dit?

En film d'ouverture: «Tscharniblues II», le documentaire d'Aron Nicks. 40 ans après que son oncle Bruno, son père Bernhard et leurs amis de Tscharnergut ont tourné «Dr Tscharniblues», le réalisateur filme la vie de cinq personnes dans la soixantaine vivant dans ce quartier de tours à Berne.
Egalement en compétition pour décrocher le prix de Soleure:
. «Immer und ewig» de Fanny Bräuning. Un road-movie familial
. «Alexia, Kevin et Romain» d’Adrien Bordone. 18 ans et alors?
. «Digitalkarma» de Mark Olexa et Francesca Scalisi. Rupa et sa volonté d'indépendance Au Bengladesh.
. «Fair Traders» de Nino Jacusso. Quel contrepoids au néolibéralisme? Lire l'article dans les Coups de coeur
. «Eisenberger – Kunst muss schön sein, sagt der Frosch zur Fliege» de Hercli Bundi. Sur le marché de l'art...
. «Pearl» d'Elsa Amiel. La culture du corps...
. «Der Büezer» de Hans Kaufmann, le travail, l'amour et puis?
. Enfin, Jeshua Dreyfus offre en première son «Sohn meines Vaters» et passe aux rayons X l’état d’esprit d’une famille éclairée.

A noter aussi pour le Prix du public:
.«Architektur der Unendlichkeit» de Ch. Staub.
.«Zwingli» de Stfan Haupt
.«Gateways to New York»: Martin Witz sur les traces du constructeur de ponts, Othmar H. Ammann, dont les projets sont devenus des icônes de l’ère moderne
.«Ly-Ling und Herr Urgesi» de Giancarlo Moos).
.«Insulaire» de Stéphane Göel raconte l’histoire utopique d’un aristocrate bernois, qui rompit avec ses origines et sa famille pour s’installer sur l’île de Robinson Crusoé. En plein Pacifique, les descendants chiliens d’Alfred von Rodt cultivent leur ADN helvétique. .«Le vent tourne» de Bettina Oberli
. «Bêtes blondes», un premier film d’un comique absurde.
Ceux qui travaillent» d'Antoine Russbach.
.«Sashinka» de la réalisatrice helvético-canadienne Kristina Wagenbauer
.«My Litte One» de Frédéric Choffat et Julie Gilbert.
. «Les dames» de Stéphanie Chuat et Véronique Reymondet
. «Wer hat eigentlich die Liebe erfunden?» de Kerstin Polte.

. Dans «Le voyage de Bashô», Richard Dindo nous propose une méditation à partir des écrits du poète japonais Bashô (1644-1694), père spirituel du haïku.
.«Fortuna» de Germinal Roux
Wolkenbruchs wunderliche Reise in die Arme einer Schickse» de Michael Steiner
. «Closer to God» d’Annette Berger et Grete Jentzen.

Il y a 646 films envoyés et moins de deux cents seront projetés. Alors évidemment, il faut faire des choix... Selon quels critères? Ce sera l'une des questions finalement abordées lors d'une discussion regroupant cinéastes et direction du festival.